Les nouveautés


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  • Voleur de soleil

       
    Tapisserie d’Aubusson tissée par l’atelier Legoueix. Avec son bolduc signé de l'artiste, n°5/6. Circa 1970.
          D'abord sculpteur, utilisant les matériaux les plus divers (acier, béton, céramique,...), Borderie se découvre une passion pour la tapisserie dans les années 50, faisant tisser son premier carton en 1957. Encouragé par Denise Majorel, il reçoit en 1962 le Grand Prix National de la Tapisserie. En 1974, il est nommé directeur de L'Ecole Nationale des Arts Décoratifs d'Aubusson, dont il démissionnera très rapidement. Il a réalisé près de 500 cartons peints, abstraits, aux formes simples, dégradées dans une gamme de couleurs réduite, avec des tissages à gros points.   Abstraction dynamique, gamme chromatique entre orange et marron, mêmes préoccupations autour de la lumière (et de l’ombre) que dans « les armes de la lumière » (et que chez Matégot): un carton classique d’André Borderie.   Bibliographie : Cat. Expo. André Borderie “pour l’homme simplement”, Angers, Musée Jean Lurçat et de la Tapisserie Contemporaine, 1998 Cat. Expo. André Borderie et la tapisserie d’Aubusson, Aubusson, Manufacture Saint-Jean, 2018
  • Ciel de Sienne

     
       
    Tapisserie d’Aubusson tissée par l'atelier Pinton. N°4/6. Circa 1960.
       
      Fumeron réalise ses premiers cartons (il en réalisera plus de 500) dès les années 40, en collaborant avec les ateliers Pinton, puis en recevant de nombreuses commandes de l'Etat, avant de participer à la décoration du paquebot "France". D'abord figuratif, et influencé par Lurçat, il évolue vers l'abstraction, avant de revenir vers une figuration colorée et réaliste à partir des années 80.   Ce carton joue sur une jeu de mots : "terre" devient ciel de Sienne pour permettre à l'artiste, sur un fond dégradé ocre ("terre de Sienne"), de produire ses oiseaux et son soleil-cercle, dans sa veine décorative si caractéristique.
  • Cortège d'Orphée

        Tapisserie d'Aubusson tissée par l'atelier Berthaut. 1961.           Jean Picart le Doux est l’un des grands animateurs du renouveau de la tapisserie. Ses débuts dans le domaine datent de 1943 : il réalise alors des cartons pour le paquebot « la Marseillaise ». Proche de Lurçat, dont il épouse les théories (tons limités, cartons numérotés,…), il est membre fondateur  de l’A.P.C.T.(Association des Peintres-cartonniers de Tapisserie), et bientôt professeur à l’Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs. L’Etat lui commande de nombreux cartons tissés pour la plupart à Aubusson, pour certains aux Gobelins : les plus spectaculaires le seront pour l’Université de Caen, le Théâtre du Mans, le Paquebot France ou la Préfecture de la Creuse,…. Si les conceptions de Picart le Doux  sont proches de celles de Lurçat, ses sources d’inspiration, ses thématiques, le sont aussi,  mais dans un registre plus décoratif que symbolique, où se côtoient les astres (le soleil, la lune, les étoiles…), les éléments, la nature (le blé, la vigne, les poissons, les oiseaux…), l’homme, les textes,….   « Le bestiaire ou le cortège d’Orphée » est un recueil de poèmes d’Apollinaire qu’illustrera Picart le Doux de lithographies en 1962 (après Raoul Dufy, dans l’édition originale). Il conçoit simultanément un carton de tapisserie, sous la forme du damier chère à Lurçat, où, dans les cases, figurent écrevisse, chèvre ou lion,…., en différents aspects, variés, du règne animal.     Bibliographie : Marthe Belle-Joufray, Jean Picart le Doux, Publications filmées d’art et d’histoire, 1966, n°13 Maurice Bruzeau, Jean Picart le Doux, Murs de soleil, Editions Cercle d’art, 1972, n°108 Cat. Exp. Jean Picart le Doux, tapisseries, Musée de Saint-Denis, 1976 Cat. Exp. Jean Picart le Doux, Boulogne sur Mer, Bibliothèque municipale, 1978 Cat. Exp. Jean Picart le Doux, Paris,Musée de la Poste, 1980 Cat. Exp. Jean Picart le Doux, Abbaye Saint Jean d’Orbestier, 1992  
  • La lyre aux papillons

        Tapisserie d'Aubusson tissée par l'atelier Berthaut. Avec son bolduc signé. Circa 1963.       Jean Picart le Doux est l’un des grands animateurs du renouveau de la tapisserie. Ses débuts dans le domaine datent de 1943 : il réalise alors des cartons pour le paquebot « la Marseillaise ». Proche de Lurçat, dont il épouse les théories (tons limités, cartons numérotés,…), il est membre fondateur  de l’A.P.C.T.(Association des Peintres-cartonniers de Tapisserie), et bientôt professeur à l’Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs. L’Etat lui commande de nombreux cartons tissés pour la plupart à Aubusson, pour certains aux Gobelins : les plus spectaculaires le seront pour l’Université de Caen, le Théâtre du Mans, le Paquebot France ou la Préfecture de la Creuse,…. Si les conceptions de Picart le Doux  sont proches de celles de Lurçat, ses sources d’inspiration, ses thématiques, le sont aussi,  mais dans un registre plus décoratif que symbolique, où se côtoient les astres (le soleil, la lune, les étoiles…), les éléments, la nature (le blé, la vigne, les poissons, les oiseaux…), l’homme, les textes,….   Les instruments de musique “naturels” (faits de branches d’arbres épanouies)  sont récurrents chez Picart le Doux à partir de 1953 (cf.”la harpe des forêts”); “la harpe aux papillons”, verticale et à fond rouge reprend ce thème en 1963.       Bibliographie : Marthe Belle-Joufray, Jean Picart le Doux, Publications filmées d’art et d’histoire, 1966 Maurice Bruzeau, Jean Picart le Doux, Murs de soleil, Editions Cercle d’art, 1972 Cat. Exp. Jean Picart le Doux, tapisseries, Musée de Saint-Denis, 1976 Cat. Exp. Jean Picart le Doux, Musée de la Poste, 1980          
  • Les enfants du soleil

     
     
    Tapisserie d'Aubusson tissée par l’atelier Four. Avec son bolduc , n°EA2. Circa 1980.
            Toffoli s'est beaucoup consacré à la tapisserie avec la manufacture Robert Four, à partir de 1976, réalisant des centaines de cartons. On  y retrouve  les transparences post-cubistes propres au peintre, ainsi que ses sujets. En effet, la tapisserie de Toffoli ne se démarque pas de sa peinture : peintre-voyageur, il illustre dans notre carton des scènes observées lors de séjours en Amérique du Sud.  
     
  • Clos d'octobre

     
     
    Tapisserie tissée à Aubusson par l’atelier Andraud. Avec son bolduc, n°EA2. 1978.
        Elève de Léon Detroy, Gaston Thiéry est l’un des derniers représentants de l’école de peinture de Crozant. Etabli donc en Creuse, il aborde la tapisserie en 1965 avec l’atelier Andraud, à qui il confie des cartons inspirés par la flore locale, dans une veine décorative à mi-chemin entre l’oeuvre de Dom Robert et celle de Maingonnat, bien loin de ses tableaux de paysage influencés par l’impressionnisme.  
     
  • Les musiciennes 2 (détail)

       
    Tapisserie tissée par l'atelier Fino à Portalegre. Avec son bolduc signé. 1953-1964.
           
  • Composition orange

       
    Tapisserie d'Aubusson tissée par l'atelier Goubely. Circa 1940.
           
  • Henri, détail de "carton 28"

       
    Tapisserie tissée à Aubusson par l’atelier Legoueix. Avec son bolduc signé de l'artiste, n°1/6. 1996.
         
     
  • Linda

     
     
    Tapisserie d'Aubusson tissée par l’atelier Four. Avec son bolduc, n°EA2. Circa 1980.  
       
    Toffoli s'est beaucoup consacré à la tapisserie avec la manufacture Robert Four, à partir de 1976, réalisant des centaines de cartons. On  y retrouve  les transparences post-cubistes propres au peintre, ainsi que ses sujets. En effet, la tapisserie de Toffoli ne se démarque pas de sa peinture : le thème de la maternité, exotique ou non, reste un leitmotiv toffolien, quelle que soit la technique.   La tapisserie est reproduite dans le classeur "Tapisserie d'Aubusson" édité par la Chambre de commerce et d'Industrie de Guéret au début des années 80 pour illustrer le savoir-faire des ateliers d'Aubusson.
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